Près d’un millier de femmes du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre (MST) armées de bâtons et couteaux ont envahi une usine de cellulose et détruit des milliers de plants d’eucalyptus transgéniques dans l’Etat de Sao Paulo.
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International
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Les femmes du Mouvement des Sans Terres contre les OGM
23 mai 2017, par FFAP -
Un tueur d’abeilles croupit dans les flaques
31 mars 2014, par FFAPUn jeune chercheur québécois est le premier au monde à mettre le doigt sur une des causes de la disparition massive des abeilles à l’échelle planétaire.
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La Chine ne veut pas se faire envahir par les OGM
22 janvier 2014, par FFAPLa réticence chinoise devant les plantes génétiquement modifiées (PGM) s’est accrue, au cours de l’année 2013 : la région de Gansu a adopté un étiquetage obligatoire, considérant que la législation nationale en la matière n’était pas suffisamment appliquée, la ville de Zhangye a interdit les cultures GM sur son territoire, et les douanes chinoises ont renvoyé à l’expéditeur plusieurs centaines de milliers de tonnes de maïs GM non autorisés par les autorités nationales...
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BOLIVIE : le soja GM interdit prolifère
10 janvier 2014, par FFAPDeux réalités, très distinctes, s’affrontent. D’un côté, à l’ouest, les montagnes des Andes, la culture indigène, les maïs et les pommes de terre créoles ; d’un autre, à l’est, l’Amazonie, la forêt tropicale et sa disparition progressive au profit des cultures de soja transgénique, des très grandes propriétés, une agriculture intégrée dans le négoce international. Evo Morales, le Président de la République plurinationale de Bolivie, est coincé entre un discours anti-impérialiste, défenseur de la Nature (Terre Mère) et des Peuples, opposé au brevet sur le vivant et les OGM, et une réalité économique, la culture du soja, bien enracinée, qui génère d’importantes rentrées d’argent. La Bolivie est en effet le huitième plus gros producteur mondial de soja (après les États-Unis, le Brésil, l’Argentine, la Chine, l’Inde, le Paraguay et le Canada) et cette culture est la deuxième source de revenus après les hydrocarbures. Mais cette manne économique n’est pas répartie équitablement et ne rapporte que peu aux caisses de l’État.